La situation politique arménienne n'est pas stabilisée.
L'Assassinat du Premier ministre et de sept personnalités
politiques en octobre 1999 est révélateur des
conditions dans lesquelles s'exerce le débat politique
national. La réélection de Robert Kotcharian à
la présidence en mars 2003 a obtenue dans des conditions
dénoncées par l'opposition et critiquées
par les représentants de l'OSCE.
Les partis politiques arméniens sont accusés
de corruption. Le parti Républicain et le parti Populaire
forment une alliance actuellement au pouvoir et favorable aux
réformes économiques. La Fédération
arménienne révolutionnaire (Dashnaks), de tradition
socialiste, interdite jusqu ’en 1996 et soutenue par la
Diaspora constitue le principa Parti d’opposition. Le
Parti Communiste est la dernière force politique de poids
en Arménie.
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