Au début des années 1990, l'Arménie se
dote d’un régime parlementaire et choisit de passer
à la démocratie. Le Parlement arménien,
corps législatif monocaméral, adopte des lois
sur les libertés de parole, de presse, sur le multipartisme
et la privatisation des terres. En 1995, l'Arménie adopte
une nouvelle constitution. Le chef de l’État est
le Président de la république, élu au suffrage
universel, il nomme le Premier Ministre. Malgré la mise
en place de telles institutions, le climat politique arménien
est dégradé.
L'Arménie souffre de fortes carences dans les services
publics. Les pénuries d'énergie sont courantes
et le retard de paiements des salaires des fonctionnaires habituels.
Le réseau des télécommunications et peu
développé et le système d’enseignement
scolaire se dégrade, faute de budgets.
Dans les hôpitaux, les médecins demandent fréquemment
des « backchichs » pour traiter leurs patients.
Malgré la création d'un Ministère de l'environnement
en 1994, la situation de l'environnement en Arménie est
préoccupante.
La population arménienne
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